La couverture de mon récit de voyage dans le Grand Erg oriental.
Je pourrai vous les dédicacer si vous me le demandez. Au plaisir.
A bientôt !
Béatrice
P.S : Pour ceux qui ne peuvent pas venir àVic la Gardiole Héraultet qui s’intéressent à mes romans, c’est possible de les commander sur Amazon, BoD, la Fnac, cultura, Decitre ou en librairie en France et partout dans le monde. (Liste complète des librairies ici) !
Si vous voulez prendre rendez-vous avec moi, vous pouvez répondre au questionnaire ci-dessous et je vous répondrai.
La Gazette de Frontignan (Musc’artiers) a rencontré Béatrice Monge d’abord virtuellement, sur sa page Facebook (Béatrice Mge auteure) puis sur le site « Groupe Aile et Envol« , avant de s’apercevoir qu’adhérente à l’association frontignanaise des « Auteurs au Soleil», elle se retrouvait cet été aux côtés des autres auteurs sur le marché de Frontignan pour proposer son livre.
Sur le marché de Frontignan le samedi matin.
Première rencontre en « présentiel » (!), premières photos, lecture de son livre « La vie cachée de Mina M » puis proposition qui lui a été faite de participer au Musc’art en ligne par le biais d’un petit questionnaire, destiné à la faire plus largement connaître auprès du grand public.
C’est bien volontiers que Béatrice a répondu à nos questions, lesquelles apporteront, nous l’espérons, un éclairage supplémentaire sur cette écrivaine passionnée qui vient enrichir la vie culturelle frontignanaise et de la région.
1) Pouvez-vous, en guise de présentation, faire un petit résumé de votre parcours « géographique », professionnel et artistico-culturel..
J’habite dans la région de Montpellier depuis que je suis jeune femme. Rapidement, je fus recrutée dans la Librairie Sauramps en tant qu’employée. Quelques années plus tard, j’ai obtenu le DU d’animatrice d’ateliers d’écriture. C’est à ce moment-là que j’ai commencé à écrire mes deux romans et un récit de voyage dans le grand erg oriental.
Mon roman se trouve en quelques exemplaires dans la librairie Sauramps de Montpellier (plus que deux exemplaires).
En parallèle, j’avais créé une association « d’Incitation à La Lecture et à l’Ecriture » pour laquelle j’animais de très nombreux ateliers pour enfants et adultes.
Cela en plus de mes emplois de référente pour des structures de soutien scolaire. Puis, je fus directrice, statut cadre, d’une importante association de soutien scolaire et cours particuliers. Après mon licenciement économique, j’ai repris mes activités de coordinatrice scolaire et ai donné des cours de français jusqu’au bac pour des organismes de cours particuliers.
Enfin, j’ai décidé de retravailler mes romans pour les publier. Une manière pour moi de revenir à mes premières amours, à savoir l’expression écrite et la littérature.
2) Quand et pourquoi avez-vous déclenché l’acte d’écrire? J’écris depuis l’âge de trente-deux ans. Très vite s’est développée en moi cette passion, surtout au cours de ma formation en tant qu’animatrice et lors de mes nombreux ateliers d’écriture.
3) Parlez-nous de la genèse de votre premier livre. Loin de moi l’idée de glisser sur mon nez les lunettes de Freud et d’analyser plus particulièrement ce qui s’est passé durant sa genèse. Les éléments du vécu, les rencontres, les émotions, les sensations et les fantasmes inconscients et conscients nous stimulent. On rattache le tout à un îlot de fiction, et nous voilà en train de construire notre roman.
4) Pourriez-vous nous éclairer un peu sur le thème de votre second livre?
Dans « Le pouvoir de la bague », Julia, jeune fille désinvolte et intelligente a 18 ans. Elle quitte le domicile familial parisien pour s’émanciper et vivre avec sa meilleure amie Audrey. Sa mère, femme de 43 ans, hypersensible et guérisseuse, lui confie une bague en lui affirmant qu’elle a des pouvoirs qui développeront chez elle des perceptions extra-sensorielles précieuses.
Dans ce roman initiatique et quelquefois drôle, les personnages ont soif de liberté, tout en éprouvant le besoin d’exister et de définir des objectifs dans leur vie.
Composition florale et roman « Le pouvoir de la bague » pour lire au chaud chez soi. Un bon divertissement tout en se cultivant : références littéraires (Baudelaire, Pessoa, Prévert) et une petite analyse de « Chacun sa chimère ».
5) En quoi consistent toutes vos activités destinées à communiquer avec votre public (salons, présences publiques…)?
Cet été, j’ai pu participer à deux speed dating avec « la librairie le Prose » et à des marchés à Vic la Gardiole et Frontignan. Ce fut pour moi une belle manière de me confronter au public et de tenter de me faire connaître. J’espère avoir l’occasion de renouveler ces expériences l’été prochain. Je n’ai pas encore eu la possibilité de faire des salons, car ils ont tous été annulés.
La couverture de mon récit de voyage dans le Grand Erg oriental.
La bague a une influence sur l’esprit de Julia et sur ses facultés extra-sensorielles. Est-ce la bague qui lui donne envie de s’intéresser à la littérature et à Baudelaire au point de percer les mystères de « Chacun sa chimère » ?
La jolie Julia, personnage principal du roman et sa bague aux multiples pouvoirs.
Plaisir de savoir son roman parmi les livres dans une des plus grandes librairies de France « Sauramps ».
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À pied dans le Sahara, mon dernier ouvrage.
Mon parcours d’écrivain !
Pourquoi cette publication sur mon parcours d’écrivain ?
J’écris depuis l’âge de trente-deux ans. Très vite s’est développée en moi la passion pour l’écriture lors de mes nombreux ateliers d’écriture.
Bien sûr, je me suis interrogée sur mes capacités à être une bonne écrivaine, qui sait transformer la banalité des choses en de belles aventures. J’ai été envahie de nombreux doutes. Alors qu’ai-je fait pour les minorer ? J’ai suivi mon instinct. J’ai écrit des poèmes, des nouvelles, j’ai donné beaucoup de cours de français et animé de nombreux ateliers d’écriture.
Mes trois histoires ont ainsi commencé à s’écrire sans trop savoir où je voulais en venir. Puis, peu à peu, j’ai trouvé, pour mes deux romans et mon récit de voyage, un fil conducteur, une trame et de nouveaux personnages.
À ces moments-là, d’importantes émotions m’ont donné envie de poursuivre dans cette voie. C’est ainsi qu’a débutée l’histoire de mes livres.
Loin de moi l’idée de glisser sur mon nez les lunettes de Freud et d’analyser plus particulièrement ce qui s’est passé durant leur genèse. On écrit tous plus ou moins à partir d’éléments du vécu, des rencontres, des émotions, sensations et fantasmes inconscients et conscients. On rattache le tout à un îlot de fiction, et nous voilà en train de construire nos romans.
Et puis, on travaille à n’en plus finir pendant des jours et nuits, des mois et des mois. (de quoi faire réfléchir certains avant de se lancer !)
J’ai aussi pris des photos et peint des aquarelles pour accompagner le récit de voyage. Et j’ai tout enregistré sur des clés USB.
Après une interruption de plusieurs années, j’ai finalement eu envie de reprendre mes travaux, de finaliser mes trois écrits et de passer de l’autre côté du miroir, c’est-à-dire de me faire éditer. Et c’est fait, j’ai choisi l’autoédition volontairement car j’aime la liberté.
Très belle interview « Podcast » de la radio « Libre antenne » et Philippe Belgrand , sur Google Podcast et sur Spotify.
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Merci de m’avoir lue. Je souhaite beaucoup de courage à tous car nous vivons une période difficile avec le confinement et la privation de liberté. Cette planète nous envoie des leçons. Il faudra les retenir le moment voulu.
« Le soleil se couchait et la nuit enveloppait le massif du Cap de Creus de son manteau noir.
Ils descendirent à pied, presque en courant et franchirent le dédale des rues pavées avec leurs boutiques d’artisans, leurs commerces et galeries d’art sans s’arrêter. Ils avaient hâte de contempler le bord de mer, ses multiples variations de couleur et son ambiance bohème.
Ils longèrent un quai, des barques et des canots à moteur, passèrent à côté de restaurants aux plateaux de coquillages alléchants et devant des terrasses de cafés aux fauteuils garnis de coussins moelleux.
Il flottait des odeurs de poissons dans l’air apaisant du soir, ce qui donna faim à Mina.
C’était l’heure où l’on se plaisait à rêvasser, car finalement la vie est fabuleuse si l’on se donne les moyens de la savourer.
Elle était toujours émue lorsqu’elle se trouvait à Cadaqués.
À chaque pas, elle songeait à tous ces artistes qui, avant elle, avaient choisi de résider dans ce lieu pour son charme et sa douceur de vivre.
Elle pensait surtout à Salvador Dali et à sa maison-musée de Portlliga, ravissant petit port de pêcheurs situé dans la baie… ».